NOS
CŒURS EN PLEURS
La
Différence,
C’est
juste l’absence.
Pour
un instant,
Ou, un
grand moment.
Mon
enfant…
Petite
fille perdue…
Au
milieu d’un océan…
Où, le
mot tendresse…Est absent !
Toi,
la Rose,
Pas
encore éclose…
Des
friches de mon jardin.
Ta
petite main…
Trace
mon chemin…Sans toi.
Nos
lendemains, lointains…
Où,
ton sourire…Ri dans mes rêves…
Comme
un ange…
Dans
mes moments de l’étrange…
Où,
mon regard se perd,
Il
s’égare ailleurs…
Dans
un monde d’illusions…
Sans
peur…Sans terreur…
Sans
aucune arme…
Pour
combattre les larmes…
De ces
âmes innocentes…
Au
cœur d’adolescents…
Encore, perdus dans l’enfance.
L’âtre
de joie, qui semblait …Brûlé…
Dans
le regard du bonheur…
Mais !
Aujourd’hui, n’est plus hier…
Dans
tes prières, qui restent
muettes…
Dans
l’interrogation de tes
yeux…Silencieux.
Dans
la réponse, de ton âme…
« S.O.S » détresse est le
message…
Qui
envahi tes larmes,
Jusqu’à les noyer.
Inondant, ton visage…
Des
heures…Qui nous manquent.
Ces
minutes…Où, tu n’es plus…
Où,
pour toi…Je n’existe plus…
Juste
« un Souvenir » qui fait mal…
Une
présence, qui s’oublie
Petit
à petit dans le temps…
Qui
nous tue… doucement.
L’image d’un minois
Qui
s’épanoui…
Dans
un miroir aux alouettes.
Laissant en contre jour…
Deux
silhouettes
« Une
enfant et sa maman » !
Un
flash dans le présent,
Sur
l’écran géant de la mémoire.
Deux
poussières d’étoiles…
Englouties par le néant.
Traînées de réalité
S’élevant dans la lumière…
Enlacées dans l’invisible,
Du
temps… Déjà… « Dépassé ».
Léna, mars 2003
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