LA
PORTE
Portes
ouvertes,
Portes
fermées,
Du
subconscient.
Mémoires souvenirs,
D’un
passé oublié.
Un
au-delà pacifié,
Flash
ou réplique,
D’un
monde « parallèle » ;
Qui
nous fait revivre à travers les
rêves,
Des
histoires inachevées.
Jour
de bonheur ou de malheur,
Nuit
de douceur ou de douleur.
Amoureux transis,
Immolés dans le feu
De
l’Enfer de Dantès,
Se
retrouvent aux portes de la fin
du monde ;
Pour
un départ,
Une
nouvelle Vie.
Précipité dans le puit,
Du
néant de la naissance.
Avec
pour tout bagage,
Un sac
de souvenirs « d’oublis ».
Les
années passantes,
Se
chercheront.
Au
bord de la vie,
Se
trouveront et s’aimeront,
Dans
la reconnaissance de leurs âmes
pures.
« Vivantes et Immortelles ».
Ils
feront noces,
Laissant leurs chairs faire
connaissance :
Le
Sabbat de leurs corps et de
leurs sens.
Vivront le plaisir dans leurs
envies,
Et
leurs désirs au bout de leurs
nuits.
A
nouveau sur le « Grand Livre »
Du
temps qui n’a pas de fin.
L’histoire du cœur de la vie,
Sera
écrite avec ses pudeurs,
Ses
peurs, ses joies, ses larmes.
Mais
le sang de l’Amour,
Coulera toujours
Dans
les veines du « bonheur ».
Léna, Août 2002
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