CONCLUSION DES
ILLUSIONS
Ma
Vie, est tapis fragile,
Qui
s’effiloche fil à fil.
Mon
âme, s’effondre,
A
coups de larmes.
Ses
blessures, sont des « accros »,
Que
personne, ne peut repriser.
Je me
sens, démunie,
Comme,
punie,…
Par
des actes que je n’ai pu
réprimer,
Mes
histoires d’amour mal finies,
Qui me
torturent,
En
brûlant, mon cœur.
J’ai
consumé, mes illusions,
Sur
l’Autel, du « sacrifice ».
Le
sang de mes cicatrices, coagule,
Stimulant mes doutes,
Qui
dorment, dans mes rêves perdus,
Engloutis, dans le fond de ma
peur.
L’Amour, n’a plus sa place,
C’est
devenu, « un mot », qui se
déplace,
Un
mensonge, qui mutile « Ego »,
En
oubliant, la tendresse,
J’ai
retrouvé, la sagesse.
Les
remords, sont plus fort,
Que
mes semblants d’efforts.
Mes
envies, se meurent,
Dans
le dégoût, de « Mon Mal de
Vivre ».
Léna, septembre 2002
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